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Une approche de la vulnérabilité économique des ménages sous l'angle des mobilités

Abstract : La qualification des vulnérabilités du Grand territoire s’effectue dans cette étude à l’échelle...

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Une approche de la vulnérabilité économique des ménages sous l'angle des mobilités

Abstract

La qualification des vulnérabilités du Grand territoire s’effectue dans cette étude à l’échelle de l’IRIS, plus petite entité géographique disponible pour les traitements statistiques. Trois types ont été caractérisés : les vulnérabilités liées au logement, celles liées aux caractéristiques socio-démographiques des résidents et celles liées à l’accessibilité géographique. Au sein de chaque type, cinq indicateurs ont été retenus au regard de leur pertinence et de leur exploitabilité (voir liste ci-dessous).
Pour les indicateurs liés au logement et au profil socio-démographique, un IRIS est considéré comme vulnérable si la moyenne de l’indicateur est supérieure à la moyenne du Grand territoire. Concernant les indicateurs d’accessibilité, les IRIS situés hors des périmètres tracés autour des différents points d’intérêt retenus sont considérés comme vulnérables (ex : au-delà de 15 minutes à pied des commerces alimentaires).
La lecture de la carte synthétique des vulnérabilités (au sein de cette étude) ainsi que des différentes cartes qui la composent (disponible sur le site web de l’agence), doit être réalisée avec prudence. Par exemple, pour l’indicateur des ménages pauvres, un IRIS est considéré vulnérable s’il en abrite davantage que la moyenne du Grand territoire et non la totalité des ménages.
Enfin le choix a été fait de ne pas pondérer les différents indicateurs de vulnérabilité, faute de méthodologie robuste. Pour ce fait, un travail plus précis pourrait aboutir à la sélection d’indicateurs complémentaires et à une meilleure équité dans un calcul agrégé.

Critères retenus par type de vulnérabilité:

LOGEMENT
Part des résidences principales dont le combustible de chauffage principal est issu d’énergies fossiles
Part des propriétaires occupants leur logement depuis moins de 5 ans parmi l’ensemble des propriétaires
Part des logements construits avant 1970
Prix médian au m² des logements
Immatriculations de véhicules d’occasion depuis 2010 dont la vignette Crit’Air est 4, 5 ou non éligible

SOCIO-DÉMOGRAPHIE
Part de ménages sous le seuil de pauvreté par unité de consommation
Part de familles monoparentales
Part de personnes vivant seules
Part de personnes de plus de 65 ans
Revenu moyen par individu

ACCESSIBILITÉ
Un arrêt de transport structurant situé à moins de 15 min à pied
Un commerce alimentaire situé à moins de 15 min à pied
Un professionnel de santé de proximité situé à moins de 15 min à pied
Une gare SNCF située à moins de 5 km à vol d’oiseau
Une aire de covoiturage située à moins de 5 km à vol d’oiseau

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Obervatoire Métropolitain des Mobilités

Abstract : Né en 1993 d'une réflexion commune menée par l'État, le Conseil Général de Seine Maritime, le...

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Obervatoire Métropolitain des Mobilités

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Né en 1993 d'une réflexion commune menée par l'État, le Conseil Général de Seine Maritime, le SIVOM de l'agglomération rouennaise, les principales communes membres du SIVOM, la première publication de l'Observatoire de la Sécurité et des Circulations sur l'Agglomération Rouennaise - OSCAR - est parue en 1995.
Ce premier document avait pour ambition de fournir aux élus et aux représentants des instances publiques et parapubliques concernées des informations relatives à la problématique des circulations et des déplacements dans l'agglomération rouennaise. Les sujets abordés dans cette première édition ont été : les trafics, la sécurité routière, les transports collectifs urbains, le transport aérien et le transport ferroviaire.
Au fil des ans, l'observatoire s'est enrichi avec de nouvelles rubriques. Ces observations sont intégrées et mises en valeur dans une publication annuelle (parution en Novembre). La 22e et dernière édition d'OSCAR est paru en novembre 2017 (données 2016).
L'année 2015 marqua une profonde mutation dans le paysage institutionnel avec la création des métropoles de droit commun ; ces dernières détenant désormais de plus amples compétences, passant d'un statut d'autorité organisatrices des transports à autorités organisatrices de la mobilité. Dans un souci de cohérence avec ces métamorphoses institutionnelles, les différents partenaires d'OSCAR (Métropole - État - CEREMA) ont estimé nécessaire de faire évoluer cet observatoire.
Ainsi, à compter de janvier 2018, est mis en place un nouvel observatoire : l'Observatoire des Mobilités de la Métropole Rouen Normandie - OMMeR. En partenariat avec l'État, la Métropole Rouen Normandie en devient le coordonnateur. Cette dernière a confié à l'Agence d'Urbanisme de Rouen et des Boucles de la Seine et Eure, dans le cadre de son programme partenarial, la collecte des données de mobilité existantes au moins sur le ressort territorial métropolitain et l'élaboration d'une plaquette annuelle de valorisation. (Parution en novembre)
Ce document est dorénavant diffusé uniquement par voie électronique. Cette application cartographique a pour but de porter à connaissance de tous l'ensemble des données statistiques et géographiques collectées.
Les données mises en valeur par l'observatoire sont issues de :
L'État (DIR Nord-Ouest, DDTM de la Seine-Maritime)
La Région Normandie
La Métropole Rouen Normandie
ATMO Normandie

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Inventaire des panoramas de la Métropole Rouen Normandie

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Occupation du sol à grande échelle 2019-2022

Abstract : L’OCS GE est une base de données de référence pour la description de l’occupation du sol de...

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Projection : IGNF:LAMB93
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Occupation du sol à grande échelle 2019-2022

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L’OCS GE est une base de données de référence pour la description de l’occupation du sol de l’ensemble du territoire métropolitain et des départements et régions d’outre-mer (DROM). Elle est produite à partir des prises de vues aériennes, des données existantes extraites des bases de l’IGN, et de toutes autres données mobilisables issues de référentiels nationaux ou locaux.

D’ici 2025, l’OCS GE nouvelle génération – financé par la Direction Générale de l'Aménagement, du Logement et de la Nature (DGALN) du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires – offrira une couverture complète du territoire national en deux millésimes minimum. Il s’agit d’une couche de données socle, pouvant être au besoin enrichie à des niveaux thématiques affinés permettant de prendre en compte les particularités locales et de répondre à des besoins spécifiques.

Cette base de données sera cruciale pour le suivi de l’artificialisation et l’atteinte du zéro artificialisation nette à horizon 2050 fixé par la loi « Climat et résilience » du 22 août 2021. Des informations complémentaires sont disponibles sur le portail national de l’artificialisation.

La couverture du sol est une vue « physionomique » du terrain. La description est une simple distinction des éléments structurant le paysage sans préjuger de leur fonction ou de leur spécificité macroscopique.

L’usage du sol est une vue « anthropique du sol ». Il est partagé en fonction du rôle que jouent les portions de terrain en tant qu’activité économique.

La zone construite est une couche à part entière qui englobe les zones bâties et leur environnement proche. Cette couche est un élément permettant de focaliser sur des zones évolutives, donc à enjeu d’un point de vue de l’aménagement du territoire. Elle permet de distinguer les espaces construits, définis sur une base bâtie, des terrains naturels, agricoles, forestiers et espaces aménagés isolés non bâtis. Cette couche n'a pas pour but d'estimer les surfaces artificialisées au sens de la loi Climat & Résilience.

L’indicateur « artificialisation » permet de suivre l’artificialisation des sols à partir des données de l’OCS GE, en s’appuyant notamment sur un tableau de croisement couverture/usage traduisant le décret de nomenclature de façon concrète. Néanmoins, il faut noter que la mesure issue de l’OCSGE reste incomplète à ce stade car elle ne tient pas compte des exceptions citées dans le décret du 27 novembre 2023, à savoir : les surfaces végétalisées à usage de parc ou jardin public, quel que soit le type de couvert (boisé ou herbacé) qui pourront être considérées comme étant non artificialisées, et les surfaces végétalisées sur lesquelles seront implantées des installations de panneaux photovoltaïques qui respectent des conditions techniques garantissant qu'elles n'affectent pas durablement les fonctions écologiques du sol ainsi que son potentiel agronomique.
Suite aux évolutions réglementaires de novembre 2023, la fiche est en version provisoire et donc susceptible d’évoluer en fonction des retours des utilisateurs.

Source IGN

Pour davantage d'informations, consultez le support ci-dessous:

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